Edito mai 2023
Publié : 28 avr. 2023, 16:26
Sommes-nous des dinosaures ou des précurseurs ?
Le phénomène de la #vanlife qui envahit le monde occidental est en fait un mode de vie que nous chérissons depuis des décennies.
Nos véhicules sont préparés pour une autonomie que bien des complotistes sur la fin du monde nous envieraient !
Réservoir d'eau, couchage pour toute la famille, éventuellement autonomie en gasoil pour de longs parcours sans retour vers la civilisation, réfrigérateur… tout ça géré dans 5 m² et en capacité de tracer sa route en dehors des voies de tout type.
Être plus minimaliste que ça, ce n'est pas possible ! C'est l'école de la gestion des ressources, c'est ce que faisaient nos anciens qui n'avaient pas pour compagne quotidienne l'économie de marché et sa profusion de produits de consommation.
Las! Ce n'est pas l'objet du voyage mais c'est une conséquence de l'exigence du trajet dans une région aux températures hostiles, le Sahara par exemple, mais pas seulement. Quand on veut se balader sans faire les courses tous les 2 jours, on prévoit une petite semaine de vivre et d’eau et forcément, on est à l’économie. Ça n'empêche pas la gastronomie ! Non mais !
On peut se régaler avec quelques légumes, des grillades et un peu de créativité
Voyez la concentration de @julienB13 devant cette salade composée qui va ravir ses papilles !
Et à cela on peut ajouter que cette course au minimalisme, cette économie de moyens, amène tout naturellement à une convivialité, à une réunion des uns et des autres autour du “pas beaucoup”. Cela relativise un peu notre frénésie de confort quotidien.
Donc voilà, ci-dessous en photo, la Mairie locale, on voit en arrière plan une villa bien située, face au soleil couchant. Et tout ça s'organise par un travail collectif, une entraide nécessaire à la bonne marche de la caravane.
Bien ! Le pays des Bisounours n’est pas loin !
Pour être honnête, le retour au bercail est nécessaire après quelques semaines de cette vie en groupe. Nous avons perdu évidemment cette habitude du “vivre ensemble” au long cours. L'utopie de la communauté collectiviste hippie était justement … une utopie!
Mais il faut reconnaître que plus on vit cette expérience et plus on veut y revenir, pour des moments inoubliables, pour revivre cette sensation enivrante d'avancer ensemble.
Et la politique devrait produire un peu cet effet là. Bah, il faut croire que les victoires à la Pyrrhus des quelques bons cheffes et chefs les ont fait fuir. Il ne reste que les bras cassés?
Alors, allez-y… Barrez-vous au bout du monde avec l’amour de votre vie et votre cheval de fer !
A bientôt, sur les pistes ukrainiennes.
Amicalement,
Charles MAZEL
CLost / Admin
Le phénomène de la #vanlife qui envahit le monde occidental est en fait un mode de vie que nous chérissons depuis des décennies.
Nos véhicules sont préparés pour une autonomie que bien des complotistes sur la fin du monde nous envieraient !
Réservoir d'eau, couchage pour toute la famille, éventuellement autonomie en gasoil pour de longs parcours sans retour vers la civilisation, réfrigérateur… tout ça géré dans 5 m² et en capacité de tracer sa route en dehors des voies de tout type.
Être plus minimaliste que ça, ce n'est pas possible ! C'est l'école de la gestion des ressources, c'est ce que faisaient nos anciens qui n'avaient pas pour compagne quotidienne l'économie de marché et sa profusion de produits de consommation.
On peut se régaler avec quelques légumes, des grillades et un peu de créativité
Voyez la concentration de @julienB13 devant cette salade composée qui va ravir ses papilles !
Donc voilà, ci-dessous en photo, la Mairie locale, on voit en arrière plan une villa bien située, face au soleil couchant. Et tout ça s'organise par un travail collectif, une entraide nécessaire à la bonne marche de la caravane.
Bien ! Le pays des Bisounours n’est pas loin !
Pour être honnête, le retour au bercail est nécessaire après quelques semaines de cette vie en groupe. Nous avons perdu évidemment cette habitude du “vivre ensemble” au long cours. L'utopie de la communauté collectiviste hippie était justement … une utopie!
Mais il faut reconnaître que plus on vit cette expérience et plus on veut y revenir, pour des moments inoubliables, pour revivre cette sensation enivrante d'avancer ensemble.
Et la politique devrait produire un peu cet effet là. Bah, il faut croire que les victoires à la Pyrrhus des quelques bons cheffes et chefs les ont fait fuir. Il ne reste que les bras cassés?
Alors, allez-y… Barrez-vous au bout du monde avec l’amour de votre vie et votre cheval de fer !
A bientôt, sur les pistes ukrainiennes.
Amicalement,
Charles MAZEL
CLost / Admin
